2 études de terrain viennent d’être réalisées par la FEDAE sur un panel de 217 répondants.
De manière générale, les sujets sociaux, fiscaux et patrimoniaux semblent les plus problématiques pour les nouveaux entrepreneurs, tandis que la question des litiges, l’aide à l'’inscription et la prévoyance sont moins sollicités.
Dans l'exercice de ses missions professionnelles, l'auto-entrepreneur cherche à gagner du temps, affiner ses prises de décisions, apprécier une situation juridique inconnue et disposer d'une information fiable et opérationnelle.
Les sources diverses (guides officiels, ouvrages de référence, textes de loi, sites Web), paraissent complexes à analyser et à comprendre, et l’'auto-entrepreneur privilégie d'abord le contact téléphonique au contact mail.
Les auto-entrepreneurs estiment que le fait de pouvoir être renseignés en direct par des juristes formés est véritablement appréciable.
Plus alarmant, leur quête d’information sur Internet est de moins en moins facile et apporte des résultats peu convaincants : les réseaux sociaux lancés sur le sujet sont souvent peu fiables, rarement mis à jour et incomplets en terme d’information.
Contrairement aux idées reçues sur la « mutualisation des informations », les conseils donnés par les membres d'’un groupe (hub, communauté, forum) n'’apportent pas satisfaction, sont trop généralistes et souvent contradictoires, laissant le demandeur dans le doute.
Une assistance juridique, technique, administrative, fiscale et sociale est donc ouverte pour répondre aux questions des créateurs sous régime auto-entrepreneur, 5 jours/7, au téléphone ou par email.
« Etude réalisée par la Fédération des auto-entrepreneurs. Contact et renseignements sur www.fedae.fr »