En finir de subir

Les réponses fournies par nos dirigeants à la crise économique actuelle amplifiée par les excès de l’endettement international sont-elles pertinentes ?

Les mesures mises en place ne sont-elles pas autant de coups d’épée dans l’eau qui perpétuent un système qui s’approche du désastre ?

Il s’agit là, en tout cas, de l’idée que soutient l’essai composé par Jean-François Carron qui met en lumière le caractère dynamique des PME dans le tissu économique français.

en-finir-de-subir.pngDes structures oubliées par un Etat dispendieux, et un législateur plus préoccupé par sa réélection, qui ne se rendent pas compte qu’elles sont les dépositaires du bien-être d’une population tirée vers le bas.

La crise ne doit pas être considérée comme un simple orage à traverser, mais indique que notre système socio-économique s’épuise et doit entamer sa révolution.

Un message qui habite "En finir de subir", essai intransigeant qui énonce une redéfinition de l’Etat tout autant qu’un plan d’envergure pour assurer la relance d’une France à bout de souffle.

Plus politique que politicien, mû par la volonté de repenser le fonctionnement de notre pays et ses priorités, cet ouvrage dispose d’arguments courageux que ne pourront mésestimer les sphères étatiques et populaires.

Les solutions proposées par Jean-François Carron

Voter sans plus de délai les lois suivantes :

  • sur le crédit d’impôt limité à 100 000€ (20 000€*5 ans) réservé aux animateurs dirigeants qui reconstitueront les fonds propres de leurs entreprises - avec alors le concours additionnel des partenaires financiers déjà largement présents sur notre territoire et des banquiers qui viendront ensemble voler au secours de la victoire
  • sur la suppression de l’ ISF,
  • et sur la réduction de moitié - parfaitement justifiable dans ce nouveau contexte - des charges sociales ce qui aura pour effets , pour une part , de redonner immédiatement aux salariés le pouvoir d’ achat disparu ….et par ailleurs, à la SS de recouvrer rapidement l’ équilibre de ses comptes … et au aussi au budget de l’ Etat de cesser de perdre chaque année une partie de sa principale ressource que constitue la TVA qui disparaît avec les entreprises qui en sont – en étaient – les premières pourvoyeuses.

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