Le bal des cocus

Le bal des cocus « Le bal des cocus (Je vous ai compris) », par Max-Henri Boulois, l’auteur de « Tous pourris… Tous dopés… » nous invite à revisiter les non-dits du passé pour comprendre le présent et expliquer pourquoi "le ciel risque de nous tomber sur la tête".

De Gaulle, Anelka, Moubarak, Kadhafi, Al-Qaïda ou les Frères musulmans, il n’y a pas de sujets tabous.

En 2000, il annonçait Sarkozy à la Présidence ou encore l’échec de nos candidatures pour les J.O. Alors, ne serait-ce que pour avoir une analyse différente de ce que l'on nous sert en boucle, « Le bal des cocus » vaut bien un détour.

Max Henris Boulois

 Auteur iconoclaste et charismatique Max-Henri Boulois donne un autre éclairage sur l'actualité, hors des sentiers battus. 

Quiz : Qui a dit ?
On ne va pas laisser bougnouliser la France ! Vous donneriez votre fille à un bougnoul ?
Alors ? Le Pen, Hortefeux Frèche, Besson, Galiano ?


Vous avez tout faux ! C’est le Général Charles de Gaulle qui, pour confirmer son propos, ajoute : dans quelques années mon village ne serait plus Colombey-les-deux- Églises mais Colombey-les-deux- mosquées. Fermez le ban ! 

Raciste, de Gaulle ?
Ou… visionnaire ?

Je vous ai compris… tous Français de Dunkerque à Tamanrasset !
Et trois ans après c’était : La valise ou le cercueil !
Yes we can !
Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent et les monarques de la 5ème n’ont pas été avares de déclarations et de belles envolées.

Max-Henri Boulois les a tous côtoyés sur un strapontin aux premières loges. Après le succès de «Tous pourris… Tous dopés… », le chroniqueur, cinéaste, toujours plus iconoclaste, revient, avec des grands témoins, pour décoder quelques-uns des évènements qui de la fin de l’Algérie française au printemps arabe ont marqué la France et le monde.

Loin des idées reçues et de la pensée unique, un autre éclairage sur l’exode d’Algérie, les diamants de Bokassa ou encore l’affaire Bettencourt, la Françafrique et le miroir aux alouettes de la liberté au Moyen-Orient avec les Ben Ali, Moubarak, Kadhafi , Gbagbo et Ben Laden, un homme à la mer…

Et par-dessus tout ça, le foot, le foot, le foot… panem et circenses. Quand « nous » gagnons On est les champions, sur l’air des lampions, tube de 98.

Quand « ils » perdent en 2010, les mêmes ou leurs jeunes cousins ne sont plus que des petits caïds de banlieue ou des sales gosses inconscients. C’est vrai quoi, il y a trop de blacks dans cette équipe de France ! (Georges ? Jean-Marie ? John ? Vous peut-être ? L’embarras du choix !)


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